Interview Lionel Chevalier
- Lionel a commencé à pêcher avec sa grand-tante, qui lui a appris la pêche au gardon, avec une simple canne. Après avoir testé plusieurs types de pêche, il découvre la pêche à la carpe au leurre, et il y prend goût très vite.
«Il y a une quinzaine d’années, j’ai commencé la pêche au leurre en bateau, et ça m’a immédiatement procuré beaucoup de plaisir. » Lionel commence ensuite la compétition au début des années 2000, avecdes événements de pêche au coup, puis des championnats nettement plus relevés : le Barracuda Tour, le Grand Pavois Fishing, etc. « Ce que j’aime dans la compétition, c’est la réflexion : il faut se creuser la tête pour arriver à faire un résultat, et se la creuser vite ! Participer à une compétition, c’est progresser très rapidement, bien plus vite que seul. Je participe souvent à ces évènements avec mon fils, et cela nous offre de beaux moments ensemble, mais surtout des moments où on gagne beaucoup d’expérience. Si les autres attrapent du poisson mais pas vous, c’est que le problème c’est votre technique, et pas les poissons ! ».
La rencontre avec Suzuki s’est faite par le biais d’un ami japonais, Ruysuke, qui était lui-même partenaire de la marque : « Lorsque celui- ci est reparti au Japon, il m’a présenté aux représentants de Suzuki, et comme le courant est passé, j’ai en quelque sorte repris son partenariat avec eux. » Il est très satisfait de son moteur DF250 : « Ce que j’apprécie le plus, c’est sa sobriété par rapport à ses concurrents, et comme c’est un gros moteur, la différence est encore plus importante. Il est aussi très silencieux pour un V6, et il est fiable : je n’ai jamais connu une seule panne depuis que je l’ai. »